Les robots Les robots, auxiliaires indispensables de la jeune génération d’agriculteurs
Dans les années 1950, le développement du machinisme a révolutionné l’agriculture. C’est aujourd’hui au tour des robots de gagner du terrain. Seront-ils demain dans toutes les fermes ? Tout pousse à le croire. Il est en tout cas très probable que la jeune génération intègrera de plus en plus la robotique en tant qu’outil de travail, à la fois pour pallier la pénurie de main-d’œuvre, mais aussi pour gagner en confort et en productivité.
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C’est une tendance de fond qui s’affirme chaque jour un peu plus : les robots prennent le relais de la mécanisation. L’heure n’est peut-être pas encore au tracteur autonome dans chaque cour de ferme, mais la traite robotisée est déjà une réalité dans beaucoup d’élevages. Du côté de la gestion des effluents ou de l’affouragement, de plus en plus de machines sont capables de fonctionner en complète autonomie. Reconnue pour ses solutions innovantes, l’entreprise BouMatic propose déjà une gamme variée de robots conçus pour répondre aux besoins spécifiques des éleveurs.
Des robots infatigables mais aussi de plus en plus intelligents
« La robotisation s'est fortement développée dans le secteur laitier ces dernières années, confirme Benjamin Simons, Market Manager chez BouMatic. L’intelligence artificielle a même commencé à faire son apparition. Notre robot Gemini Up l’utilise notamment pour son système de branchement par l’arrière. Sa technologie d'apprentissage automatique lui permet de mémoriser tous les pis du troupeau pour ensuite reconnaître chaque animal selon la forme et la couleur des mamelles et des trayons. » Cette fonctionnalité améliore la traite. Grâce à elle, Gemini Up est aussi capable de détecter les anomalies, particulièrement les mammites.
L’autre raison pour laquelle la robotisation devrait occuper une place de plus en plus importante dans le quotidien des futurs agriculteurs, c’est la pénurie de main-d’œuvre dont souffre le secteur. « Des équipements tels que le robot de nettoyage BVS, le repousse-fourrages Butler Gold Pro ou le distributeur d’aliment Shuttle Eco sont conçus pour effectuer des tâches répétitives et exigeantes physiquement, précise Benjamin Simons. Les jeunes agriculteurs, appelés à gérer des exploitations plus grandes avec moins de personnel, pourront ainsi déléguer ces tâches pour se concentrer sur des aspects plus stratégiques. »
Le pilotage à distance, un atout pour gagner en confort de vie
La robotisation pourrait également prévenir l’apparition des troubles musculosquelettiques. Par exemple, grâce au robot de paillage Flypit de BouMatic, l’entretien des litières s’effectue sans efforts. Plus silencieux que les engins motorisés, les robots contribuent également à faire régner une ambiance plus calme dans les bâtiments d’élevage. Un plus non négligeable pour le bien-être des animaux… comme pour ceux qui s’en occupent.
Dernier atout, tous ces robots sont pilotables à distance. Un simple smartphone ou une tablette permettent de planifier leurs interventions, depuis les champs, entre deux réunions, à l’extérieur et même depuis son salon. L’ensemble des équipements peuvent être pris en main par le biais d’une interface unique à n’importe quel moment. Un critère important pour les jeunes générations qui aspirent à avoir du temps en dehors de leur exploitation… d’autant qu’elles seront déjà bien familières des outils digitaux.
Contenu conçu et proposé par BouMatic. La rédaction de Web-agri n'a pas participé à la réalisation de cet article.
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